L'improbable voyage d'Audrey Mercier: Respire par le nez, beauté !


Auteur: Sandra Verilli
Éditeur: Andara
Pages: 384
Parution: Juillet 2020
Genre Littéraire: Roman québécois

Résumé

Audrey Mercier est enseignante à Montréal. Sa vie rangée et sans éclat bascule le jour où ses deux grands enfants lui offrent un cadeau très spécial pour ses 40 ans : des billets d'entrée pour le musée et l'aquarium de Vancouver.

Mère monoparentale, Audrey a toujours rêvé d'aller en Colombie-Britannique, mais elle n'a ni le budget pour prendre l'avion ni l'envie de parcourir le Canada en solo. Lorsque Milan O'Neill, un conseiller sportif de l'école qui fait fureur auprès de la gent féminine, lui propose de l'accompagner, la jeune femme n'a d'autre choix que de plonger tête première dans cet improbable périple pendant lequel rien ne se passera comme prévu.

Au-delà d'un simple road trip, ce voyage en sera un de découverte de l'autre, mais aussi de découverte de soi. Car en parcourant près de 5 000 km en moins de trois semaines, beaucoup de choses peuvent arriver!


Ce que Sophie en pense

Toute une aventure que celle d’Audrey, qui reçoit en cadeau d’anniversaire de ses enfants, deux jeunes adultes de 17 et 20 ans, des billets d’entrée pour deux attractions à Vancouver! Elle qui rêvait depuis longtemps de découvrir Vancouver, mais avec les moyens d’une maman monoparentale, ne pouvait se l’offrir! Malgré l’inusité de leurs présents, ses enfants auront visé juste, et lui accorde du même coup leur accord pour un périple à travers le Canada sans eux. 

Pour épargner sur le coût du voyage, elle s’y rendra en auto avec un collègue de travail qu’elle n’apprécie pas tellement et qu’elle surnomme secrètement Milan-le-Fendant! L’histoire de ce roman est charmante, y allant de rebondissements en rebondissements, à chacune de leurs escales. Même si la fin de l’histoire est prévisible, j’ai lu ce roman avec intérêt et curiosité de chapitre en chapitre, ne pouvant m’arrêter de lire. Ce livre est fort agréable et remet en question le premier jugement que l’on peut avoir envers autrui.

Note: Je remercie Sophie pour sa collaboration ! Vous retrouverez également cette chronique sur son blog.


Merci aux Éditions Andara pour cet envoi.

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