Pleurer au fond des mascottes


Auteur:  Simon Boulerice
Éditeur:  Québec Amérique
Pages:  192
Parution:  6 octobre 2020
Genre Littéraire: Roman québécois

Résumé

Pourquoi Simon sourit-il autant? Et que cache-t-il derrière ce sourire? Que camouflent les costumes de mascotte qu’il emprunte ou les masques qu’il revêt? D’où lui viennent cette légèreté, cette juvénilité?

C’est à ces questions que Simon tente de répondre, en revisitant l’arrivée lumineuse du théâtre dans sa vie. L’auteur se dévoile et se donne sans demi-mesure. Avec une gravité qui prend aux tripes... mais avec le sourire.

— Mais Simon, tu dis tout. Garde-toi une petite gêne, pour l’amour.

— J’ai envie de tout dire. En fait, j’ai besoin de tout dire. J’essaie de mieux me cerner. 

J’ai l’air transparent, mais je suis insaisissable comme une pile d’acétates.


Ce que Mélanie en pense

Simon Boulerice est un auteur que j’adore, mais aussi – et surtout – une personne que j’admire. Non, mais sérieusement… quel humain fabuleux n’est-ce pas? Deux minutes en sa compagnie et le sourire vient naturellement au coin de nos lèvres. Alors lire un ouvrage du genre autobiographique qui nous permet de nous immiscer un tant soit peu dans son intimité, évidemment que j’allais dire oui! 

Dans Pleurer au fond des mascottes, Simon nous ouvre la porte sur ses souvenirs d’enfance, d’adolescence, mais également sur sa vie d’adulte. Une lecture tout en intimité qui nous donne l’impression de passer la soirée en sa délicieuse compagnie, verre de vin blanc à la main. Simon est d’un naturel captivant quand il raconte quelque chose et il en va de même quand il se raconte lui-même. 

Bien que j’ai eu un peu de mal à rester accrochée à ma lecture durant l’incursion de son adolescence en raison de tous ces liens au théâtre – qui, j’en suis consciente, font partie intégrante de l’homme qu’il est aujourd’hui, mais pour laquelle je ne suis pas capable d’avoir de référence étant donné qu’il s’agit d’un univers qui m’est complètement inconnu -, j’ai adoré en découvrir un peu plus sur lui. Ça le rend encore plus attachant, bien qu’il le soit déjà énormément.


Merci aux Éditions Québec Amérique 






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