Ce qu'il reste d'Alice


Auteur: T.R. Richmond
Éditeur: Calmann-Levy
Distribué par: Hachette Canada
Pages: 411
Parution: juin 2015
Ré-édition: 15 avril 2016 chez Livre de Poche
Catégorie: policier


Résumé

Le corps d’Alice Salmon, vingt-cinq ans et promise à un bel avenir, est découvert sous un pont. La veille, elle passait la soirée avec des amies. Suicide ? accident ? meurtre ? Tandis que les médias s’emparent de l’affaire, Jeremy Cooke, professeur proche de la retraite, veut reconstituer la vie de son ancienne élève, pour élucider sa fin si tragique. Il explore toutes les traces qu’elle a laissées : Facebook, Twitter, Spotify, forums, blogs, journaux intimes, lettres. Pièce par pièce, Alice apparaît, tel un puzzle mystérieux, parfois très sombre. Bientôt, des vérités choquantes font surface.


Ce que j'en pense



J'ai commencé cette lecture remplie d'excitation. Le résumé m'a tout de suite attiré. Un bon roman policier après mes deux romans québécois, ça me changerait! 



Nous apprenons à connaître les personnages gravitant autour d'Alice par le biais de courriels échangés entre eux, de textos, de lettres, de publications sur différents médias sociaux.



Au début, je ne détestais pas cette façon de raconter l'histoire. On se sent même un peu voyeur d'épier Alice ainsi. Par contre, à la longue, ça devient un tantinet redondant. L'auteur s'amuse à se promener dans le temps (tantôt nous sommes en 2001, ensuite hop! en 2012 pour revenir en 2011, 2004, 2012, 2013, 2011 et ainsi de suite). Mais où l'auteur veut-il en venir? On s'y perd à l'occasion. Je ne pouvais quand même pas arrêter ma lecture...je suis bien trop curieuse de savoir la suite!! 



J'ai soupçonné je ne sais combien de personnes!! C'est sûrement lui...ah! c'est peut-être ce personnage-ci !?! 



Dans les dernières 60 pages, tout commence à s'assembler. Et là, on ne veut plus arrêter de lire car on sait que nous allons enfin découvrir de quelle façon Alice est morte. Et je dois vous avouer que dans mes spéculations, celle-ci n'en faisait pas partie. 


Merci à Hachette Canada pour cette lecture






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