Juste une fois


Auteur: Alexandre Jardin
Éditeur: Le livre de poche
Distribué par: Hachette Canada
Pages: 228
Parution: 13 avril 2016
Catégorie: Littérature française, amour


Résumé

A trois heures de son mariage new-yorkais, César dévisage la sœur cadette de celle qu’il s’apprête à épouser et comprend que c’est elle, la femme de sa vie.
« Puisque notre histoire n’est pas possible, j’aimerais que nous nous aimions... juste une fois dans notre vie, lui propose-t-il. Pour n’avoir aucun regret. Choisis le moment Hannah. Et je ferai comme si je n’avais rien dit. J’attendrai. »
Quinze ans plus tard, ils se retrouvent au bord d’un lac québécois, à trois semaines du mariage d’Hannah. Sera-t-elle fidèle à sa parole ou à ses souvenirs ?
Veuf, César est guéri de tout romantisme. Revenue de ses rêveries, Hannah a renoncé au sentimentalisme. Peut-on croire encore à la passion quand on a cessé d’y croire ?



Ce que j'en pense...

Quelle déception que ce livre! C'est mon premier Alexandre Jardin, je ne connaissais pas cet auteur. Je crois par contre qu'il est bien aimé des Français. Mais même pour eux, selon les différents commentaires que j'ai lu sur le web, aucune critique ne lui était favorable.
Ma lecture a été TRÈS tranquille. Tout traînait en longueur. Rien d'intéressant ne se passait. En lisant le résumé, je me réjouissais à l'avance de cette belle histoire d'amour. Un amour qui semblait impossible entre César et Hannah puisque celui-ci mariait la soeur de cette Hannah. Et quinze ans plus tard, ils se retrouvent en pays québécois. Hannah, qui est sur le point de se marier avec le beau Arnaldo, ne pense qu'à ces quelques mots que César lui a dit dans les tours du World Trade Center: Juste une fois. Et commence son long débat intérieur.....Arnaldo? César? Qui aime-t-elle exactement? Et là, on tourne en rond. On attend l'intrigue piquante.....qui ne vient pas. De plus, la fin n'est pas très heureuse.
Comme l'histoire se passe au Québec, l'auteur a employé des expressions québécoises. Aucun problème pour moi qui suis 100% québécoise. Dans le bas des pages, il y a des notes pour expliquer ces expressions en français de France. C'était étrange de lire cela.
Un autre point que je n'ai pas aimé est que l'auteur se retrouve dans l'histoire et qu'il semble un tantinet arrogant. Pourquoi se faire percevoir comme tel? Est-il vraiment comme cela dans la vrai vie?
Bref, je ne crois pas que je vais lire de sitôt un autre roman de ce monsieur Jardin. En lire un, juste une fois, m'a amplement suffi.

Merci à Hachette Canada pour cette lecture



 




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