Auteur: Gabrielle Zevin
Éditeur: Fleuve Noir
Pages: 243
Parution: 18 mai 2015
Catégorie: Amour
Résumé
A.J. Fikry a l'un des plus beaux
métiers du monde : il est libraire. Un libraire misanthrope et bourru qui file
un mauvais coton depuis le décès de Nic, son épouse. Peu importe, livre ou être
humain, il est devenu bien difficile de trouver grâce à ses yeux. L'irrésistible
petite Maya va pourtant fendre son armure. Sa maman souhaitait qu'elle
grandisse au milieu des livres et l'a donc laissée dans les rayons de l'unique
librairie d'Alice Island. C'est ainsi qu'A.J., faussement récalcitrant, se
retrouve à pouponner ce chérubin aussi malicieux que despotique. Et dans le
sillage de ce duo improbable, tout leur entourage va découvrir que les
aventures étonnantes, épatantes et émouvantes n'arrivent pas que dans les
livres.
Ce que j'en
pense...
J'ai lu ce livre dans le cadre du challenge d'avril du blog Au boulevard du livre, dont
le thème est le suivant: qui donne envie de devenir libraire.
A.J. Fikry est un homme vivant seul au dessus de sa librairie (juste
pour cette raison, j'aimerais bien avoir une librairie!!! Pouvoir lire tous les
livres que l'on veut quand on le veut!!). Sa femme étant décédée, il ne vit que
pour son travail, ne sortant presque jamais. Il semble assez grognon, dénué de
tout humour. Peut-être la solitude y est-elle pour quelque chose? Je ne me
sentais pas très attachée à ce personnage.
Par contre, je suis tombée sous le charme de Maya, la petite cocotte
d'à peine 2 ans qui est abandonnée dans la librairie par sa mère. À cause d'une
note laissée au libraire, A.J. se sent concerné pour la sécurité de la petite
fille au point qu'il décide de l'adopter car il ne peut se résoudre à la
laisser à des inconnus. Et quoi de mieux qu'une librairie pour une si jeune
enfant? Elle grandira parmi les livres qui deviendront en quelques sortes ses
amis.
C'est une petite lecture légère, rafraîchissante. L'été s'en vient! Ce
roman est parfait pour la plage!! On s'attache facilement aux personnages. Je
dois avouer que j'ai eu un faible pour la petite Maya. Je n'ai pas détesté non
plus Amelia, la représentante d'une maison d'édition. Je la trouvais super
sympathique!!
Je termine avec une citation du livre qui m'a interpellée car c'est
quelques chose que je dis souvent à mes enfants: ''On lit pour se rappeler qu'on n'est pas seul. On lit parce qu'on est
seul. On lit, et on n'est plus seul. On n'est pas seul.''
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