C'est avec un grand plaisir que je me suis jointe à une dizaine de blogueuses québécoises hier (désolée les gars, le féminin l'emporte haut la main cette fois) pour un 5@7 organisé par Hachette Canada pour la sortie du livre L'Échappée de l'auteure Julie Tremblay.
Nous avons pu profiter de l'occasion pour échanger entre nous et avec l'auteure. C'est ainsi que nous avons appris que l'inspiration du roman lui vient d'un road trip à travers le Canada qui lui a donné envie de situer son histoire ailleurs qu'aux États-Unis. Pays qu'elle considère légèrement surexploité dans les romans du type. Lorsqu'on lui demande pourquoi Wilo, elle nous répond en riant que cela lui semblait juste assez isolé pour y accueillir son personnage, soulignant que pour les Français, le Canada se résume encore trop souvent au sirop d'érable et à la cabane au fond des bois. Mais comment lui en vouloir sachant à quel point elle a su décrire les paysages automnaux ontariens?
Étonnés qu'une française porte un nom si typiquement québécois?
Vous avez du flair. La jeune lauréate d'un concours littéraire a effectivement choisi d'utiliser un pseudo pour garder un fossé entre les divers aspects de sa vie professionnelle. À la base amateure de romances et administratrice d'un forum littéraire - Le boulevard des passions - madame Tremblay a occupé son temps au cours d'une période de chômage pour écrire ce qui deviendra L'Échappée. C'est à sa grande surprise qu'elle remporte le concours lui permettant de publier chez &moi au moment même où elle se dégotte un emploi.
Aussi, quand on aborde l'éventualité d'une récidive romanesque, la jeune auteure reste plutôt vague. Le premier roman semblant être un imprévu dans un parcours qui se voulait linéaire, Julie Tremblay ne semble pas persuadée de son talent. Peut-être que le syndrome de l'imposteur s'amenuisera au fil des ventes. Chose certaine, toutes les blogueuses présentes hier soir étaient unanimes. Nous avons adoré.
Nous avons pu profiter de l'occasion pour échanger entre nous et avec l'auteure. C'est ainsi que nous avons appris que l'inspiration du roman lui vient d'un road trip à travers le Canada qui lui a donné envie de situer son histoire ailleurs qu'aux États-Unis. Pays qu'elle considère légèrement surexploité dans les romans du type. Lorsqu'on lui demande pourquoi Wilo, elle nous répond en riant que cela lui semblait juste assez isolé pour y accueillir son personnage, soulignant que pour les Français, le Canada se résume encore trop souvent au sirop d'érable et à la cabane au fond des bois. Mais comment lui en vouloir sachant à quel point elle a su décrire les paysages automnaux ontariens?
Étonnés qu'une française porte un nom si typiquement québécois?Vous avez du flair. La jeune lauréate d'un concours littéraire a effectivement choisi d'utiliser un pseudo pour garder un fossé entre les divers aspects de sa vie professionnelle. À la base amateure de romances et administratrice d'un forum littéraire - Le boulevard des passions - madame Tremblay a occupé son temps au cours d'une période de chômage pour écrire ce qui deviendra L'Échappée. C'est à sa grande surprise qu'elle remporte le concours lui permettant de publier chez &moi au moment même où elle se dégotte un emploi.
Aussi, quand on aborde l'éventualité d'une récidive romanesque, la jeune auteure reste plutôt vague. Le premier roman semblant être un imprévu dans un parcours qui se voulait linéaire, Julie Tremblay ne semble pas persuadée de son talent. Peut-être que le syndrome de l'imposteur s'amenuisera au fil des ventes. Chose certaine, toutes les blogueuses présentes hier soir étaient unanimes. Nous avons adoré.
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